Salon
A la porte de Versailles, sam’di nous nous parquons.
Nous entrons au salon, et grimpons au balcon.
Sous nos pieds des taureaux, charolais et gascons.
Soudain je m’aperçois de mon œil de faucon
Qu’un grand type à lunettes tient des propos abscons.
Arrive alors un p’tit, énervé, rubicond,
Avec plein de bijoux et c’est pas du zircon,
Qui balance élégant »casse toi alors pauvre con !»
Les compliments, çà tombe, dru comme des flocons.
Cà c’est vraiment la classe de suite nous remarquons.
Pourrait faire président si d’main nous l’éduquons !
Eduquons,éduquons…….
Je ne sais pas pourquoi, mais en écrivant, je me suis surpris à fredonner du Brassens : »quand on est c…, on est c.. » Etonnant non ?
A la porte de Versailles, sam’di nous nous parquons.
Nous entrons au salon, et grimpons au balcon.
Sous nos pieds des taureaux, charolais et gascons.
Soudain je m’aperçois de mon œil de faucon
Qu’un grand type à lunettes tient des propos abscons.
Arrive alors un p’tit, énervé, rubicond,
Avec plein de bijoux et c’est pas du zircon,
Qui balance élégant »casse toi alors pauvre con !»
Les compliments, çà tombe, dru comme des flocons.
Cà c’est vraiment la classe de suite nous remarquons.
Pourrait faire président si d’main nous l’éduquons !
Eduquons,éduquons…….
Je ne sais pas pourquoi, mais en écrivant, je me suis surpris à fredonner du Brassens : »quand on est c…, on est c.. » Etonnant non ?
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